Qualité de l’air

ArcelorMittal Belgium surveille de très près la qualité de l'air

  • Qualité de l’air

    La qualité de l’air a toujours été une priorité absolue dans la politique environnementale d’ArcelorMittal Belgium. C’est également ce qui ressort des résultats des investissements importants réalisés au fil des ans. Grâce à ces efforts, par exemple, les émissions de poussières d’ArcelorMittal Gand ne représentent plus que 10% de celles émises à la fin des années 1980.
    Lorsque nous parlons de la qualité de l’air, nous parlons :

    Emissions de poussière

    Nous distinguons deux sources de poussières : les sources orientées (par cheminées) et les sources diffuses. En ce qui concerne les sources orientées, nous investissons considérablement dans des installations de dépoussiérage efficaces. Nous accordons beaucoup d’attention à l’entretien et à l’exploitation de ces installations afin qu’elles puissent capter de manière optimale les particules de poussière. La mise en service de l’installation de dépoussiérage secondaire dans l’aciérie a constitué une étape importante dans le contrôle des poussières. Cet investissement de 29 millions d’euros a été mis en service en 2004, ce qui a permis de réduire les émissions de poussières des convertisseurs de l’aciérie de près de 95 %. L’investissement le plus récent dans ce domaine a été l’extension du système de dépoussiérage des sols coulés dans l’un de nos hauts fourneaux. Cet investissement de 7,9 millions d’euros a été mis en service en 2012. Afin de lutter contre les émissions de poussières de diffusion, nous avons élaboré, en collaboration avec un expert externe, un plan de réduction des poussières qui s’étend sur plusieurs années et qui énumère des mesures concrètes.

    Particules fines

    Les particules fines sont un terme générique désignant les particules de poussières fines de compositions diverses, qui sont si petites qu’elles peuvent être inhalées. Des études épidémiologiques à grande échelle en Amérique et en Europe ont montré l’impact de ces particules sur la santé. Afin de limiter ce phénomène, des objectifs européens en matière de qualité de l’air ont été fixés au début de l’année 2000 et sont entrées en vigueur en 2005. La Flandre est située dans une région d’Europe où les concentrations de poussière sont relativement élevées. Nous sommes situés entre les zones industrialisées néerlandaise, allemande et française. Selon le gouvernement, 70 à 80% de la concentration de poussière mesurée provient donc de l’extérieur de la Flandre. La zone du canal de Gand est l’un des “points chauds” de la Flandre en termes de particules fines. Les normes de qualité relatives aux particules ne sont pas toujours respectées dans les stations de mesure gouvernementales. Selon une étude de l’Institut flamand de recherche technologique (VITO), notre entreprise est responsable en moyenne annuelle d’environ 15% de la quantité de particules présentes dans l’air à proximité immédiate de notre entreprise. Les sources diffuses en particulier en sont à la base. Nous continuerons à nous attaquer à ces problèmes selon notre plan de réduction de poussière.

    Émissions de dioxines, NOx et SO2

    Toutes les autres émissions, telles que les NOx, le SO2 et les dioxines, font l’objet d’un programme de mesure interne intensif. Cela nous permet de contrôler le bon fonctionnement des installations techniques de production et de purification et d’effectuer des ajustements immédiats si nécessaire. En ce qui concerne les émissions de NOx et de SO2, nous agissons également de manière proactive en sélectionnant soigneusement les matières premières ayant une teneur relativement faible en azote (N) et en soufre (S).

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